En réalisant l'étude de 24 supernovae extrêmement lointaines, et donc très anciennes, le télescope spatial Hubble a permis de conlure que l"'énergie noire" agissait déjà il y a neuf milliards d'années, contrecarrant l'action de la gravitation. Ces observations confirment que son influence est devenue prépondérante il y a six milliards d'années lorsque le taux d'expansion de l'univers a commencé à s'emballer. (ULG)


http://www.nasa.gov/home/hqnews/2006/nov/HQ_06353_Hubble_Dark_Energy.html

Néons sur la Lune
Il ne s'agit pas de pollution lumineuse, mais des isotopes du gaz rare dont la distribution en profondeur dans les roches lunaires semblait démontrer une lente diminution de l'activité solaire.
L'étude de particules ramenées en catastrophe par la sonde Genesis montre que les abondances isotopiques observées sont produites naturellement par l'érosion dans l'environnement spatial. (ULG)
http://space.newscientist.com/article/dn10595-solar-wind-particles-solve-lunar-mystery.html

Sigma-sub-b
Deux nouvelles particules subatomiques cousines des protons et neutrons ont été découvertes. Elles contiennent un quark "bottom", très lourd, et sont ainsi les baryons les plus massifs connus à ce jour.
Elles ont été découvertes grâce au Tevatron Collider, une machine qui recrée des conditions qui ont brièvement régné au début de l'univers.
http://www.jhu.edu/news_info/news/home06/nov06/exotic.html

Etoiles proches
Un relevé effectué par le RECONS (Research Consortium on Nearby Stars) avec le télescope de 90cm de Cerro Tololo(Chili) a ajouté 20 étoiles aux 328 déjà connues en deçà de 10 parsecs du Soleil. Il s'agit d'étoiles naines rouges, très faibles mais très nombreuses dans la Galaxie.
Les distances ont été mesurées par la méthode directe de la trigonométrie. (ULG)
http://www.noao.edu/outreach/press/pr06/pr0614.html

Rayons cosmiques
L'observation par le satellite X Chandra des vestiges de supernova constituant la nébuleuse Cas A conforte l'idée que ces objets sont des sources importantes de rayons cosmiques. (ULG)
http://chandra.harvard.edu/press/06_releases/press_111506.html

Astéroïde double
Le radiotélescope géant d'Arecibo fonctionnant en mode radar a permis de détailler la forme d'un astéroïde double géo-croiseur. Les composantes s'avèrent être de gros tas de cailloux. La rotation du corps principal est si rapide qu'il se trouve à la limite de la dislocation, ce qui est sans doute une indication précieuse sur l'origine de la binarité de ce genre d'objet. (ULG)
http://www.news.cornell.edu/stories/Nov06/kw4.arecibo.html